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Yves Bélorgey - Thomas Huber
Thomas huber, l'heure bleue (2012), vue d'exposition, le printemps de septembre 2021
© le printemps de septembre
photo : damien aspe
Infos pratiques :
20-22, rue du Faubourg Bonnefoy, 31500 Toulouse
Ouverture le samedi 18 septembre à 12h
Du mercredi au dimanche de 12h à 18h
Yves Bélorgey expose également au CIAM – La Fabrique.
Yves Bélorgey et Thomas Huber exposent côte à côte au Garage Bonnefoy.
YVES BÉLORGEY
Invité du Printemps de septembre, Yves Bélorgey présente Images de l’intérieur, une série de tableaux et de dessins inédits réalisés à partir de photographies de lieux d’habitation et d’immeubles de la ville de Toulouse, avec comme point de départ du projet le Mirail. L’artiste montrera pour la première fois en France les tableaux pigmentaires, technique qu’il a mis en place en travaillant les tableaux directement au pigment sec, sur toile.
THOMAS HUBERT
Les peintures de Thomas Huber explorent l’image dans l’image et l’étude du passage d’un lieu à un autre, du réel à l’imaginaire. Au Garage Bonnefoy, il expose aux côté d’Yves Bélorgey L’heure bleue, un panneau de chantier peint, réalisé en 2012, qui propose une image d’Huberville – sa cité fictive.
Avec le soutien de la Fondation des artistes.
YVES BÉLORGEY
Né en 1960 à Sens (France), il vit et travaille à Montreuil (France). Le travail d’Yves Bélorgey est exposé dans de nombreuses institutions en France et en Europe. En 2012, le Musée régional d’art contemporain d’Occitanie/Pyrénées-Méditerranée, Sérignan, et le Stadthaus, Ulm, lui consacrent une exposition personnelle tandis que le MAMCO, Genève, lui dédie sa première rétrospective. Il est enseignant à l’ENSA Paris-Malaquais et donne également des conférences pour présenter son travail, comme à l’École Nationale Supérieure d’Arles en 2019.
THOMAS HUBERT
Né en 1955 à Zurich (Suisse), il vit et travaille à Berlin. Thomas Huber a exposé ses peintures lors de nombreuses expositions individuelles comme à la Skopia, Genève (2019 et 2015), au Aargauer Kunsthaus, Aarau (2018), à la galerie Akinci, Amsterdam (2017), au musée des Beaux-Arts, Rennes (2017), ou encore au festival International d’Art de Toulouse (2014). Il a également participé à des expositions collectives telles que Icons. What we humans worship au Kunsthalle Bremen, Bremen (2019).