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Simon Starling
Simon Starling
Project for a Masquerade (Hiroshima), 2011
Courtoisie de l’artiste et du Modern Institute / Toby Webster LTD
Crédit photo : Le Printemps de Septembre-à Toulouse
Simon Starling
Project for a Masquerade (Hiroshima), 2011
Courtoisie de l’artiste et du Modern Institute / Toby Webster LTD
Crédit photo : Le Printemps de Septembre-à Toulouse
Simon Starling
Project for a Masquerade (Hiroshima), 2011
Courtoisie de l’artiste et du Modern Institute / Toby Webster LTD
Crédit photo : Le Printemps de Septembre-à Toulouse
Simon Starling
Project for a Masquerade (Hiroshima), 2011
Courtoisie de l’artiste et du Modern Institute / Toby Webster LTD
Crédit photo : Le Printemps de Septembre-à Toulouse
Simon Starling
Project for a Masquerade (Hiroshima), 2011
Courtoisie de l’artiste et du Modern Institute / Toby Webster LTD
Crédit photo : Le Printemps de Septembre-à Toulouse
Simon Starling
Project for a Masquerade (Hiroshima), 2011
Courtoisie de l’artiste et du Modern Institute / Toby Webster LTD
Crédit photo : Le Printemps de Septembre-à Toulouse
Simon Starling
Project for a Masquerade (Hiroshima), 2010
Courtoisie de l'artiste et The Modern Institute, Glasgow
Crédit photo :Simon Starling
Simon Starling
Project for a Masquerade (Hiroshima): The Hat Maker/Henry Moore, Ushiwaka/Atom Piece, 2010
Courtoisie de l'artiste et The Modern Institute, Glasgow
Crédit photo: Ruth Clark
Simon Starling
Project for a Masquerade (Hiroshima), 2010
Courtoisie de l'artiste et The Modern Institute, Glasgow
Crédit photo : Marcus Leith & Andrew Dunkley
Né en 1967 à Epsom (Royaume-Uni), vit et travaille à Copenhague et Berlin.
L' œuvre de Simon Starling ouvre de nouvelles négociations entre l’art et le réel, en abordant l’héritage moderne, sans nostalgie, ni fascination. Sa démarche esthétique pourrait être comparée à une déambulation scientifique animée par le désir de comprendre, par l’expérience, comment les choses fonctionnent. Sous une apparence très retenue, son œuvre est en réalité composée d’un riche tissu de coïncidences. Ainsi, chaque œuvre de Starling contient la possibilité de connexions multiples dont elle n’explore qu’une infime partie. Toujours soucieux de l’écologie au sein de laquelle les questions esthétiques évoluent, Simon Starling n’a eu de cesse de mener des enquêtes esthétiques dont il fait le récit en formes et en images.
Aux Jacobins, il présentera une version de son installation Hiroshima, qui mêle le théâtre traditionnel japonais No et l’histoire de la sculpture moderne.