Archives
Matias Faldbakken
Matias Faldbakken
Jerry can sculpture 1-3, 2011
Courtoisie de l’artiste et de la galerie Simon Lee
Crédit photo : Le Printemps de Septembre-à Toulouse
Matias Faldbakken
Jerry can sculpture 1-3, 2011
Courtoisie de l’artiste et de la galerie Simon Lee
Crédit photo : Le Printemps de Septembre-à Toulouse
Matias Faldbakken
Jerry can sculpture 1-3, 2011
Courtoisie de l’artiste et de la galerie Simon Lee
Crédit photo : Le Printemps de Septembre-à Toulouse
Matias Faldbakken
Remainder XV, 2011
Courtoisie de l’artiste et de la galerie Simon Lee, Londres
Crédit photo : Le Printemps de Septembre-à Toulouse
Matias Faldbakken
Remainder XV, 2011
Courtoisie de l’artiste et de la galerie Simon Lee, Londres
Crédit photo : Le Printemps de Septembre-à Toulouse
Matias Faldbakken
Remainder XV, 2011
Courtoisie de l’artiste et de la galerie Simon Lee, Londres
Crédit photo : Le Printemps de Septembre-à Toulouse
Matias Faldbakken
Untitled (Newspaper Rack #4), 2011
Courtoisie de l'artiste et STANDARD (OSLO), Oslo
Crédit photo: Fredrik Nilsen
Matias Faldbakken
Untitled (MDF #1), 2008
Courtoisie de l’artiste et Simon Lee Galerie, Londres
Né en 1973 à Hobro (Danemark), vit et travaille à Oslo.
Matias Faldbakken a étudié à la National Academy of Fine Arts de Bergen et à la Städelschule de Francfort. Artiste et écrivain renommé internationalement, il a publié deux romans, The Cocka Hola Company et Macht und Rebel, sous le pseudonyme d’Abo Rasul, dont l’humour décapant a provoqué une agitation considérable en Norvège. La frontière parfois ténue entre cultures underground et mainstream, entre les attitudes «indépendantes » et l’activité commerciale, est un thème central dans son travail artistique. Fasciné par les processus du savoir et du pouvoir, de l’ordre et de l’échange, Faldbakken montre à travers ses oeuvres comment l’art et les artistes peuvent y jouer un rôle déterminant. Manifestant radicalement son anti-esthétisme, les oeuvres minimales, spontanées et destructrices de Mathias Faldbakken (utilisant par opposition aux technologies de la culture et de la communication des matériaux bruts et pauvres comme la bombe de peinture, le rouleau de scotch ou le feutre) révèlent en creux un déni assumé des conventions sociales et artistiques en cours.
Au bbb, il présente entre autres travaux une pièce produite pour le lieu, qui pourrait bien trouver sa place sur le parvis du centre d’art après avoir été jetée d’un pick-up en pleine course.
En partenariat avec l’équipe de médiation du Printemps de Septembre et les Abattoirs – Musée Frac Occitanie Toulouse