Archives
Alice Anderson
Souffler n'est pas Jouer (capture d’écran), 2005
N° inventaire 05-881
Œuvre du Centre national des arts plastiques – Ministère de la Culture et de la Communication, Paris
Crédit photographique © Alice Anderson / CNAP
Anne Daems
Untitled, Série “Situations”, 2004
N° inventaire 04-562
Œuvre du Centre National des arts plastiques – Ministère de la Culture et de la Communication, Paris
Crédit photographique © CNAP
Véronique Ellena
Série « Ceux qui ont la foi », 2003
N° inventaire 03-866
Œuvre du Centre national des arts plastiques – Ministère de la Culture et de la Communication, Paris
Crédit photographique © Véronique Ellena / CNAP
Raymond Hains
Série Cahors Mundi, 2000
N° inventaire 99334
Œuvre du Centre national des arts plastiques – Ministère de la Culture et de la Communication, Paris
Crédit photographique © CNAP, ADAGP, Paris
Projection sur écran d'eau, 2000
Crédit photo : ABAX
Jack Pierson
Série Sensitive, 2000
N° inventaire 2000-566
Œuvre du centre national des arts plastiques - Ministère de la Culture et de la Communication, Paris
Crédit photographique © CNAP
Contortionists (tait), Markus Schinwald
Courtoisie Markus Schinwald & Yvon Lambert Paris, New York
Bertien van Manen
Man and painting
N° inventaire 03-881
Œuvre du Centre National des arts plastiques – Ministère de la Culture et de la Communication, Paris
Crédit photographique © Bertien van Manen / CNAP
Pour fêter les 10 années passées à Cahors, nous avons souhaité y retourner l’espace d’une soirée festive et d’une exposition. Nous avons choisi de rendre hommage aux partenaires institutionnels qui nous ont aidés à produire des oeuvres — pour l’essentiel, le Centre national des arts plastiques, la Maison européenne de la photographie, le Centre national de la photographie et le Jeu de Paume.
Son titre La part des ombres souligne d’abord la façon dont le passage du temps a pu transformer la perception que nous avons aujourd’hui d’oeuvres créées et exposées il y a tant d’années, et devenues en quelque sorte les fantômes de ce qu’elles ont été. Au rez-de-chaussée, un ensemble regroupé sous le titre Corps étrangers, ombres errantes montre comment des êtres, des corps et visages en apparence familiers sont progressivement gagnés par l’étrangeté et l’irréalité. À l’étage (Un trou dans l’image : lieux du crime, scènes du rêve) l’effet de réel semble plus affirmé, plus proche d’une réalité physique des objets et des lieux.
Régis Durand