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Christian Floquet
Christian Floquet, vue de l'exposition à la Galerie Jacques Girard, 2009. Photo Damien Aspe, ©Le Printemps de Septembre—à Toulouse
Né en 1961 à Genève, il y vit.
Tout au long de son travail pictural qui s'inspire du langage de l'abstraction géométrique, cet artiste suisse va porter son regard sur les rapports qu'entretiennent l'espace et le plan, la forme et la couleur. Ses tableaux, rectangulaires ou carrés, invariablement bicolores, jouent sur la récurrence d'un même motif. Espaces colorés fragmentés, figures asymétriques éclatées, absence de repères et de hiérarchisation des plans sont les données récurrentes de son travail.
Que présentez-vous pour le Printemps de septembre?
Cinq grandes peintures récentes, entre abstraction géométrique et surface sensible…
Que vous inspire le sous-titre du festival cette année, “Là où je suis n’existe pas”?
J'aime beaucoup. Cela pourrait être un titre pour une oeuvre. Nous sommes dans le signifié, dans un espace mental, abstrait.
Qu’est-ce que l’art vous permet d’accomplir ?
"Je passais comme la rumeur, je m'endormais comme le bruit." Louis Aragon