Yann Kersalé

Il vit et travaille à Paris.

Le barrage du bazacle provoque une ébullition ludique qui incise le regard, qui fabrique une lumière. Rémanence de la lumière dans l'eau, matière vivante, matière prenable, matière malléable, matière tout court. L'intervention consiste à photographier la lumière de cette ébullition pour la traduire en forme grapiques. Elles vont devenir matière et s'imprimer sur des tissus fixés aux luminaires de la promenade de la Garonne devenant ainsi lampions du Pont Neuf à la chaussée du Bazacle. C'est une mise en séquence statique de l'activité pepréptuelle du flot. Un arrêt sur images basculé sur la rive.